Librairie Pierre Saunier

Confessions d’un bohémien – La RéclameConfessions d’un bohémien – La Réclame Confessions d’un bohémien – La RéclameConfessions d’un bohémien – La Réclame Confessions d’un bohémien – La RéclameConfessions d’un bohémien – La Réclame Confessions d’un bohémien – La RéclameConfessions d’un bohémien – La Réclame

Fremy (Arnould).
Confessions d’un bohémien – La Réclame.

Paris, Librairie Nouvelle, 1857 ; 2 volumes in-12 reliés en un, demi-chagrin vert bouteille, dos à nerfs orné de caissons dorés et du chiffre de Maxime Du Camp, tranche jaspées (reliure d'époque). 331 & 108 pp.

300 €

Éditions originales du roman et de la comédie en cinq actes, représentée au Théâtre de l’Odéon en 1857.

Envois a. s. sur les Confessions et la Réclame : à Maxime Du Camp, son ami dévoué, Arnould Fremy / A mon ami Maxime Du Camp, Arnould Fremy.

Prolixe auteur à succès des innombrables Mémoires de Bilboquet et des Paris « quelques chose » à la verve spirituelle et satirique fort appréciée – Paris-grisette, Paris-actrice, Paris-viveur, Paris-boursier, Paris-gagne-petit, Paris-portière, Paris étudiant, Paris-en-omnibus, Paris-fumeur, Paris-rapin, Paris-un-de-plus, etc. – Fremy mena une belle carrière journalistique à la Revue de Paris (auprès de Maxime Du Camp), la Revue britannique, au Siècle, au Peuple, au Charivari etc. En 1841 il écrivit avec Balzac la Physiologie du banquier et collabora aux Cent Proverbes illustrés par Grandville.

En 1843, il avait été reçu Docteur ès lettres avec une thèse remarquée sur les Variations du style français au XVIIIe siècle qui lui valut une chaire de littérature française à l’université – las, poursuivant ses publications peu en harmonie avec ses doctes fonctions, il fut révoqué de l’enseignement supérieur. Né en 1809, Frémy disparu au début des années 1890.

Ex-libris de Maxime Du Camp

Rousseurs dans La Réclame.